Au soir de la maniferstation du 20 Novembre, je me suis dit pourquoi ne pas faire partager aux infimes forumeurs du MAR mon ressentiment sur ces derniers jours de lutte...
Ben me voila rentré d'une des nombreuses manifestations que je peux compter désormais à mon actif, et aprés le remontage de moral en voyant les troupes estudiantines, lycéennes, cheminotes et fonctionnaires, un sentiments d'insatisfaction m'a envahit à l'heure où les ignorants dorment et où les fous comme moi ruminent une fois de plus sur le triste sort de cette putin de planete.
Et oui je m'apercois une fois de plus que tout cela n'ira pas bien loin, malgré la venu surprise de certains camarades, je me suis vite apercu que ce n'etait une fois de plus qu'un coup d'épé dans l'eau. A l'heure ou les cheminot entament leur septieme jours de greve, quelques solidaires etaient tout de meme présents, mais trop peu. Les etudiants essayaient de battre le pavé pour leur revendication, les fonctionnaires pour les leurs sans jamais sentir une adaquation totale entre tout ce beau mode certes meritant d'etre la, mais revanchard ou rechignant a une unité totale. Tout cela surement du aux corporatismes certains des ces manes syndicalistes depassées tout de meme par leurs bases et tant mieux...
Il est sur que ce soir N. Sarkozy, doit dormir certes seul dans un si grand lit pour un si petit homme, mais dormir sur ces deux oreilles d'un sommeil inebranlable. Il a reussi son coup le bougre, il divise toujours et encore pour mieu regnier. Les discutions de quai ou de comptoir qui en etants ajoutées valent a peu prés autant qu'un dialogue entre deux persones ayant le QI d'une huitre et d'un fer a souder, inonde le paf et les ondes hertziennes a l'heure ou le bon francais boit sa quille de rouge devant PPDA ou Pujadas et leurs reportages n'oseabot sur les preneurs d'otages grevistes de la ligne du RER A, ou de l'univerité de bordeaux III...
Bref je ne sait pas tellement comment conclure, etant donné que ce probleme revient toujours les soir de lutte, on a désormais nos grands matin d'espoirs et nos grands soirs de desilusion...