CPE

90 lycéen(ne)s de St Girons exclus temporairement
intimidations.. repressions... manipulations .. ca continue ! !

les 90 lycéens de st girons qui ont oser faire la gréve .. et pour certains rejoindre l AG de la fac du mirail .. puis la manif de jeudi aprémidi dans le centre de Toulouse ... seront donc exclus collectivement quelques jours ...

se préoccuper de son avenir et s'interesser aux luttes .. c'est un crime pour l'Education Nationale aux ordres ! ! !



TOUS EN GREVE AVANT QUE NOTRE DEMOCRATIE BLINDEE NE DEVIENNE UNE VRAI DICTATURE ! ! ! !

uni(e)s et ensemble dans la Gréve ! !

Jeremy a écrit:

TOUS EN GREVE AVANT QUE NOTRE DEMOCRATIE BLINDEE NE DEVIENNE UNE VRAI DICTATURE ! ! ! !

Hum... c'est déjà le cas (et c'est un pléonasme)

Coordination Nationale de Rennes2 du 18 février : la mobilisation se renforce !!!

À l’appel de l’université de Rennes 2, une trentaine d’universités mobilisées (en présence de lycéen-nes de différentes villes) contre le CPE s’est réunie en coordination nationale pour élaborer une plateforme revendicative et décider collectivement des perspectives nationales de mobilisation.

Tout au long de la journée du samedi 18 février, les délégations des universités mobilisées ont voté une plateforme revendicative : - Abrogation de la loi pour l’égalité des chances comprenant le Contrat Première Embauche, - Abrogation du Contrat Nouvelle Embauche - Augmentation des postes aux concours de l’Education Nationale par un plan pluriannuel.



Les perspectives votées par l’ensemble des délégués sont les suivantes :
- Journée de grève nationale et de blocage dans les universités le 23 Février
- Journée de manifestation nationale le 28 Février
- Journée d’action nationale le 7 mars (dont le principe de l’action commune sera décidé à la prochaine coordination nationale)

Action anti-CPE
Les participants à l'action contre le CPE sont actuellement entourés par les flics devant le Cirque d'Hiver.

Les étudiants, jeunes et précaires qui participaient à cette action qui avait pour cible les primaires de l'UMP, ce parti qui s'est donné pour cible de liquider à vitesse accélérée les droits des travailleurs, voulaient exprimer leur rejet de cette politique.

Cernés par les grilles des policiers, ils chantent L'Internationale, face aux défenseurs de l'exploitation mondialisée.

A Bordeaux

Réunion du comité de mobilisation mercredi 22/02 à 13h à la Victoire pour Bx2 (puis Amphi) et Esplanade des Antilles puis Amphi B200 sur Bx3.
AG jeudi 23/02 à 12h30 amphi 700 pour Bx3 et Amphi Deniges pour Bx2.
Manifestation jeudi 23/02 à 14h place de la Victoire.

500 étudiants anti-CPE envahissent un lycée et les prud'hommes à Nanterre

Cinq cents étudiants de l'université Paris X, selon les organisateurs et la police, ont occupé mardi après-midi le tribunal des prud'hommes et le lycée Joliot-Curie de Nanterre pour tenter de convaincre les lycéens de se mettre en grève contre le contrat première embauche (CPE). L'université Paris X de Nanterre fait l'objet depuis le début de la journée de blocages partiels de ses accès par des étudiants grévistes. Lors d'une assemblée générale à la mi-journée, 700 à 800 étudiants ont voté la grève dans l'université à partir de mercredi matin, selon une porte-parole des étudiants. "Nous faisons grève contre le CPE, qui ne fait qu'augmenter la précarité, et contre la loi sur l'égalité des chances en général, qui continue d'installer les inégalités et ne répond en rien au problème des banlieues. Nous demandons également l'amnistie pour les émeutiers de novembre", a-t-on ajouté de même source. Vers 14H30, environ 500 étudiants ont envahi le lycée Joliot-Curie, "dans une ambiance bon enfant" selon la police, pour demander aux lycéens de rallier leur mouvement. A 16H15, les manifestants ont envahi le tribunal des prud'hommes de Nanterre pour "protester contre les atteintes au droit du travail que constitue le CPE", a précisé la porte-parole des étudiants. La manifestation a pris fin vers 17H00, toujours "dans le calme" selon une source policière, et les étudiants ont réintégré leur campus, en promettant pour les prochains jours des actions similaires dans le département. Le CPE, actuellement en débat au Parlement, est un contrat à durée indéterminée réservé aux moins de 26 ans, qui débute par une période de deux ans au cours de laquelle l'employeur peut licencier son salarié sans avoir à justifier sa décision.

Appel des lycéen-nes de Rennes au blocage des lycées.
Par Fédération Sud Etudiant, mercredi 22 février 2006 à 13:57 :: General

Appel des lycéen-ne-s de Rennes

Nous, lycéen-ne-s de Rennes, réunis en assemblée générale le lundi 20 février, sommes déterminés à poursuivre jusqu’au bout le combat contre le Contrat Première Embauche (CPE).

Nous dénonçons une attaque sans précédent en direction des jeunes de moins de 26 ans et de tous les salariés de ce pays. Nous estimons que cette mesure constitue une précarisation inacceptable de nos conditions de travail et un cadeau fiscal pour le patronat (par les exonérations de charges).

Nous, lycéen-ne-s de Rennes, refusons d’être une main d’œuvre corvéable et jetable. Nous exigeons le retrait pur et simple du CPE.

Malgré l’offensive gouvernementale (procédure d’urgence, 49-3,…), la mobilisation ne faiblit pas, au contraire, elle s’amplifie ! Depuis le 7 février (plus de 300 000 manifestants en France), l’université de Rennes 2 est en grève avec blocage. Aujourd’hui, sans compter les IUT, c’est plus d’une dizaine d’universités qui sont en grève.

Les manifestations du 7 et 14 février ont réuni respectivement 15 000 et 10 000 jeunes et salariés dans les rues de Rennes. Les lycéen-ne-s représentaient environ la moitié des cortèges. S’en est suivi toute une série de blocages de lycées. Sur les 15 lycées publics que compte la ville, 11 ont été bloqués au moins une journée. Sur certains d’entre eux, le blocage décidé en assemblée générale a été reconduit pour plusieurs jours ! Ces actions sont le reflet de notre détermination à combattre la précarité institutionnalisée.

Ces dernières années, les mouvements sociaux ont connu de nombreuses défaites illustrant le coup de force libéral du gouvernement. Avec le CPE, le gouvernement détruit le droit du travail et la sécurité de l’emploi. C’est dire si la réponse que nous devons apporter doit être à la hauteur des enjeux.

C’est pourquoi, les manifestations, bien que très utiles, ne permettent pas d’instaurer un rapport de force suffisant. Les blocages décidés démocratiquement en assemblée générale permettent à tous les lycéen-ne-s de participer au mouvement. Ainsi, il est possible d’organiser des débats, des AG, de distribuer des tracts, de participer aux manifestations, de s’informer,…sans être pénalisé par les cours manqués. De plus toute une partie du système éducatif est bloqué.
L’année dernière, les blocages de lycées, mis en place pour protester contre la loi Fillon ont manqué de coordination. Malgré tout, ce sont plusieurs centaines de lycées qui ont été bloqués à travers la France. Cette année, contrairement à l’année dernière, les blocages ne sont pas le signe de l’essoufflement d’un mouvement mais démontrent la maturité de l’expérience acquise. Cela illustre la nécessité de mettre en place ce type d’action immédiatement, mais aussi la possibilité de le faire comme en atteste l’exemple de Rennes. En outre, pour que cela soit réellement efficace, les blocages doivent être coordonnés au niveau national.

En ce sens, nous appelons l’ensemble de la jeunesse et des salariés de ce pays à se mobiliser avec détermination et à poursuivre le combat jusqu’au bout.
Nous relayons les appels de la coordination nationale réunie le samedi 18 février à Rennes : blocage des lycées là où c’est possible et manifestation le jeudi 23 février, et coordination nationale à Toulouse le samedi 25 février (se rendre sur le site internet de sud-etudiant pour voir les modalités de la coordination nationale de ce week-end).

Aujourd'hui, reunion du comité de mobilisation de bordeaux, 30 personnes présentes...

Les questions de la greve et de l'occupation des unversité a été posée, et sera soumis au vote de l'assemblée generale de demmain en forcing (etant donnée que l'unef et les autres bureaucrate ne pense faire qu'une ag informative).
Les amphi devront etre debrayée demain matin par des personnes de l'Iut( en greve depuis Lundi afin d'emener le plus de monde possible a l 'AG.
Ensuite le lycée montesqiueu devrait etre bloqué pour emené le plus de monde a l'ag ( 12h30 amphi 700 BX3) et a la manif (14h00 place de la victoire)
Il a été aussi question de savoir qui partirai a la coord de toulouse se weekend.
L'iut attend le soutient de tous le monde et font appel a toutes les bonnes volontées

A demain dans la rue...

OCCUPATION DE TOLBIAC
la greve a ete voter ce matin a midi. ( 450 pers en ag ) un bloquage a ete organise a la suite de cette ag aucun cours n'a eu lieu cet apres midi

ce soir une occupation est en cours, nous risquons d'etre expulse besoin de beaucoup de soutient ! on est trop peu !

Jussieu aurait voter la greve et le bloquage des demain matin .

Pour demain sur tolbiac pour ceux qui ne dorment pas la bas un rdv est donné dès 7h30 pour faire l'etat des lieu la fac risque d'etre ferme par l'administration . dans le cas contraire une ag est prevu vers 10h

Grève reconduite à Tolbiac : piquets de grève lundi matin
Jeudi 23 février, une AG de 350-400 étudiants a voté à 12h la grève et la mise en place de piquets de grève immédiatement après l'AG.

Après un moment de confusion, les piquets ont été mis en place et une réunion du comité de mobilisation a réuni environ 300 étudiants à 16h (jeudi).

Lors de cette réunion, l'occupation nocture de Tolbiac a été décidée, et appliquée par environ 70 étudiants. Pour la première fois depuis longtemps (pour une occupation nocturne), la présidence n'a pas fait intervenir la police.

Ce matin, une AG était annoncée à 10h, mais la direction de l'université a refusé d'ouvrir les grilles de l'université, afin d'empêcher la tenue d'une AG massive sur Tolbiac. Par ailleurs, des cars de CRS étaient aux alentours immédiats dès le petit matin.

Malgré cela, environ 400 étudiants ont escaladé les grilles de la fac, et une AG a débuté à 11h avec environ 400-500 étudiants.

Les piquets de grève ont été votés pour lundi matin, avec Assemblée générale à 11h.

L'Assemblée générale d'aujourd'hui a élu 3 mandatés pour la coordination nationale de Toulouse : une militante de la FSE, une militante de SUD étudiant, et une non syndiquée (une quatrième candidature UNEF/JCR n'a pas été retenue).

quelques nouvelles de rennes en lutte, depuis le CPE.

aujourd'hui, il y avait AG.
On a pris des décisions importantes :


on va occuper la fac pendant nos vacances scolaires qui commencent demain soir.
le mardi de la rentrée, le 7, on va bloquer matériellement la fac (pour l'instant, c'est des piquets qui filtrent les cours autorisés genre capes, agreg...)

nous envoyons 7 délégués (très majoritairement trostskistes, désolé(s)) à la coordination de Toulouse. leurs mandats sont semi-impératifs, ce qui signifie qu'ils devront défendre les points qui suivent, mais aussi parler un peu à leur guise.

donc, les points :


occupation de l'université et d'un bâtiment public jusqu'au retrait du CPE/etlereste
démission du gouvernement
retrait des lois fillon
une action nationale d'occupation de gares sncf
et le reste (CNE, CPE, plus de CAPES, retrait de l'égalité des chances)
(à moins qu'on en oublie)

sinon
ce soir, y'avait une manif de nuit.
y'avait pas beaucoup de monde et beaucoup trop de flics ...
on a crié, on s'est balladé, une belle poubelle a pris feu .

voilà.

la situation de la mobilisation


AIX MARSEILLE

vacances

ANGERS

Chevrollier, le plus gros lycée d'Angers (le 4ème de france par sa taille) est bloqué depuis lundi matin.


BORDEAUX
Lycée Montesquieu a été bloqué jeudi 23

Bordeaux 3 est en grève (votée jeudi)
un blocus est organisé dès mardi matin (je posterais les détails dimanche soir ) ;une AG se tiendra dans la matinée pour définir les perspectives
Pour ce qui est du blocage il est demandé aux personnes souhaitant venir de n'apporter ni alcool ni drogue et de respecter un minimum les locaux


IUT de journalisme est occupé
IUT Carrières sociales est en grève avec blocage
Toute personne le souhaitant est invité à venir se joindre aux iutiens
des débats son organisés notamment avec des professionels (plus d'info sur leur site )

pour se rendre à l'IUT de journalisme

c'est le bâtiment qui se trouve sur la Place Meunier ( face à l'église St Croix )

pour venir a l'iut de carrière sociale

par le tram:
arret michel de montaigne
avancer vers le resto universitaire numero 3 (passer devant le sirtaki, la fac d'arts plstiques, les tlaps... c'est le batiment a gauche du crous!)

en voiture:
sortie 16 domaine universitaire
direction IUT

http://iutienscontrecpe.canalblog.com/

BREST

les étudiants de Brest ont voté la grève avec blocage de la fac
plusieurs centaines d'étudiants ont entamé mercredi le blocus de l'unité de formation et de recherche (UFR) en lettres et sciences sociales (4.500 étudiants)


LANION
vacances


LA ROCHELLE

le blocus de la Fac de littérature Arts et sciences humaines commencera dès jeudi 16 au matin à 7h les étudiants ont ainsi voté la grève et le blocus pendant les vacances scolaires .
l'AG de la fac de droit a voté la grève avec blocus immédiat de la fac ; le président a annulé tous les cours pour des raisons de sécurité



Lundi 27 février
AG vers 10h

LILLE

Objectif : être « plus de 10 000 » à manifester à Lille le 7 mars.


LE MANS

Ont été voté en AG la grève et blocus de la fac dès la rentrée
au moins 1 lycée du Mans est bloqué


LORIENT- VANNES

l'IUT et la fac sont en grève
à Vannes un lycée est bloqué

LYON

la mobilisation continue pendant les vacances


MONTPELLIER

Facs de lettres et de sciences en grève


NANTES

les facs sont en vacances mais la mobilistion reprend à la rentrée
vote de la grève avec blocage du bâtiment de socio et barages filtrants sur les autres.
soutient des profs


PARIS
Le Conseil d'administration de l'Université Paris I se prononce pour le retrait du CPE
Paris 10 : grève + blocage
Paris 13 : grève
Jussieu : grève



Mardi 28 février 2006
Paris2: conférence


Mardi 7 mars 2006
Manifestation à 14h30 place de la Republique (en direction de la place de la Nation )




POITIER

Les étudiants de Poitiers se sont mis en grève lundi midi et ont décidé de bloquer l'entrée des facultés du campus universitaire
La fac de droit a rejoint le mouvement jeudi


Lundi 27 février
AG

RENNES

RENNES 1 et 2 sont en grève et les grèvistes occupent la fac ( la mobilisation continue pendant les vacances )
Le 7 mars les locaux seront complétement bloqués
adoption d'une charte de non violence

REINS

Des actions sont prévues pendant les vacances qui commencent lundi



TOULOUSE

soutient des profs
grève et blocage des facs de Rangueil et du Mirail


Mardi 7 mars 2006
manifestation 14h30 place Arnaud Bernard


TOURS
IUT de carrières sociales : soutient des profs

l'Université de Tours (sciences humaines) s'est déclaré en grêve suite à la manif et l'AG (400 participants) du 14/02, rejoignant ainsi le département de l'IUT deja en gêve depuis 1 semaine (300 mobilisés)
Des actions quotidiennes sont prévues pour les vacances et le mouvement de grève reprendra dès la rentrée

Jussieu en grève !
Jussieu a voté la grève avec blocage en assemblée générale ce matin.
Ce matin, après le blocage de l'ensemble du campus par le comité de mobilisation, l'assemblée générale des étudiants, soutenue par l'assemblée générale des personels qui se tenait au meme moment, a décidé la grève pour aujourd'hui et pour demain, ainsi que la poursuite du blocage.

Grosse présence(plusieurs centaines, amphi plein, tout le monde n'a pas put rentrer) et vote massif pour la greve !

Nouvelle AG demain matin, puis depart en manif l'apres midi.

Et rdv des 6 heures pour le blocage ...

Moi je suis désolé, quand on fait un blocage et la grève, on le fait jusqu'au bout, perso j'étais à l'AG à jussieu, et j'ai entendu que le blocage se faisait jusqu'à 16h en gros quand ça arrange les gens, quand tu fais la grève, tu la fais jusqu'au bout et c'est pas "tiens, je rentre il est 16h, je rentre chez moi et je vais faire dodo" et c'est pas la peine de me dire "ouais, mais nous on est là depuis 6 heure du matin" car vous l'avez choisi, alors la fac on la bloque totalement ou on fait rien du tout! Alors en ce moment c'est pas une grève que vous faites, vous faites ce que vous voulez et restez même pas mobilisé. Alors quitte à faire chier les gens : faites le pleinement et pas à moitié! A bon entendeur, salut!

Guillom47 a écrit:

Moi je suis désolé, quand on fait un blocage et la grève, on le fait jusqu'au bout, perso j'étais à l'AG à jussieu, et j'ai entendu que le blocage se faisait jusqu'à 16h en gros quand ça arrange les gens, quand tu fais la grève, tu la fais jusqu'au bout et c'est pas "tiens, je rentre il est 16h, je rentre chez moi et je vais faire dodo" et c'est pas la peine de me dire "ouais, mais nous on est là depuis 6 heure du matin" car vous l'avez choisi, alors la fac on la bloque totalement ou on fait rien du tout! Alors en ce moment c'est pas une grève que vous faites, vous faites ce que vous voulez et restez même pas mobilisé.

Tout à fait d'accord avec ça.

Guillom47 a écrit:

Alors quitte à faire chier les gens : faites le pleinement et pas à moitié! A bon entendeur, salut!

Mais pas avec ça

Depuis le debut de la semaine le lycée max linder de Libourne (33) se mobilise contre le cpe. Mardi le blocage total du lycée a été effectuée par les manifestants. Aujourd'hui, l'occupation et le debrayage des cours, ont fait que la proviseur a decidé de fermer l'etablissement jusqu'à lundi. Aprés ce debrayage, les manifestants sont parti en manif à la mairie et au siege de l'ump de la ville, où le personnel est resté retranché dans les locaux gardé par la police... Malgrés la fermeture du lycée, les manifestants ont decidé de continuer la mobilisation en venant dés demain, continué à proteter devant leur lycée en une journée festive. Tout le monde est convié a venir lutter avec eux contre le cpe et pour son retrait pur et simple...

Jeremy a écrit:

Aujourd'hui, l'occupation et le debrayage des cours, ont fait que la proviseur a decidé de fermer l'etablissement jusqu'à lundi.

Hum... j'émmet quelques doutes quant aux raisons de la fermeture...

M'ait avis que le cassage des vitres n'y est pas étranger...

Jeremy a écrit:

Malgrés la fermeture du lycée, les manifestants ont decidé de continuer la mobilisation en venant dés demain, continué à proteter devant leur lycée en une journée festive. Tout le monde est convié a venir lutter avec eux contre le cpe et pour son retrait pur et simple...

Là jé faut que tu m'explique sur qui tu exerces des pressions en restant devant un lycée fermé

Parce que j'ai beau chercher je ne comprend pas.

Le blocage total était la seule et unique solution, vous avez fait des compromis, ça vous est retombé sur la gueule. Maintenant, pour emmener du monde mardi ça va etre très tendu... pas impossible mais très tendu...

oui la fermeture est aussi auu cassage de vitre et autrement resté devant le lycée c pour montré qu'on est pas des branleur et quon fait pas ça juste rater les cours!!!!

skatrur a écrit:

oui la fermeture est aussi auu cassage de vitre et autrement resté devant le lycée c pour montré qu'on est pas des branleur et quon fait pas ça juste rater les cours!!!!

Oui, ça je le comprends bien mais je ne vois plus dès lors le rapport avec le CPE. En effet, un bloquage ou une occupation a pour but de perturber le fonctionnement et l'organisation des lycées et des facs. Et c'est lorsque cette m"thode est répandue et est répercutée un peu partout que les pressions s'exercent sur les dirigeants et peuvent les faire plier.

Par contre, rester devant un lycée fermé, ça ne sert à rien (à part se donner bonne conscience, mais je sais parfaitement que les gars qui ont organisé le truc n'ont rien à prouver à personne et n'ont pas à se justifier, on l'a suffisament fait les années précédentes). C'est pour ça que je ne comprends pas. Serais-je le seul à trouver ça chiant que les blocages soient impossibles à cause de la fermeture????

Evidemment, je réagi peut-etre comme ça parce que je ne suis pas un vendu et que je n'appelle pas les médias à la moindre occasion pour voir mon nom dans le journal... Il y a 2 méthodes, celle des collabos qui ne sert à rien et celle du blocage total sans compromis. Le choix a été fait, dommage que ce soit le mauvais...

Enervé l'anarchiste? un peu ouais... Mais pas surpris malheureusement

Aujourd'hui les 200 personnes venus donc manifester devant le lycée fermé comme prévu étaient présentes... Gilles de robien en visite a bordeaux et apprenant que le lycée a été bloqué et fermé par la proviseur, a demandé des sanctions contre le mouvement de Libourne...
Il a declaré qu'il etait inaxeptable que des lycéens puissent bloqué un etablissement et que la mobilisation anti cpe etait du temps perdu.
A nous de lui montrer que l'on ne perd pas notre temps...

MANIFESTATION. -- Des lycéens en mouvement contre le Contrat Première Embauche ont partiellement bloqué l'accès au lycée durant toute la journée d'hier

Journée blanche à Max-Linder : Yannick Delneste




Les lycéens ont bloqué l'accès à l'établissement libournais de 7 h 30 à 16 h 30


Lundi matin, le barrage avait été filtrant et n'avait duré qu'une petite heure. Hier, il a été total et a duré toute la journée de cours.
S'il a mobilisé les universités depuis le début de la semaine, le CPE a soulevé des élèves de Max-Linder, l'établissement confortant son image d'avant-garde dans les mouvements lycéens de Gironde et d'ailleurs.
Hier, à 7 h 30, il n'étaient pourtant que quelques-uns, membres du jeune comité anti-CPE, mais cela aura suffi pour bloquer les étroites entrées du lycée. Sur les 1 800 élèves inscrits, plus d'un millier arrivent à cette heure-là, et rapidement l'attroupement débordait sur les allées alors très fréquentées. Michèle Bouloy, la proviseure, préférait appeler les forces de l'ordre pour éviter tout danger. « Je ne craignais pas de violences, ma priorité était la sécurité », précisait-elle.


Barbecue. Le blocage s'est déroulé dans un calme relatif, précaire tant la sortie du lycée est proche de l'axe routier, et peut occasionner des chocs. Il n'y en a pas eu. Si des lycéens se sont éparpillés dans le centre-ville après voir constaté le blocage, beaucoup sont restés devant les grilles, solidaires du mouvement.
C'est avec un cône de chantier déguisé en mégaphone que les responsables de la manifestation démarraient une très courte assemblée générale improvisée. « On défile dans les rues ou on continue le blocage ici ? », demandait Jérémy Lapeyre aux lycéens. Les forces en présence n'étant pas démesurées, la réponse a été le stationnement prolongé devant le lycée. Deux grands barbecues empruntés non loin de là, ont même permis à plus d'une centaine de lycéens de faire une grillade vigilante devant l'établissement.
« Nous voulons le retrait de ce projet, simplement », résumait-on dans les rangs des manifestants. « Il instaure une précarité qui n'est pas acceptable. »


Occupation. L'après-midi, le barrage s'est fait plus filtrant, et des élèves ont pu entrer dans le lycée. Les professeurs ne faisant pas grève, la consigne de l'administration du lycée était de faire cours, quel que soit le nombre d'élèves.
Le barrage était complètement levé vers 16 h 30. Lors d'une deuxième assemblée générale étaient décidées pour aujourd'hui des actions à l'intérieur de l'établissement.

LUNDI 6 MARS : -Appel de la coordination nationale à Assemblée Générale dans tous les lycées de france ce jour-là pour discuter des actions à mener pour le 7mars
-nous pourrions nous joindre à un éventuel concert anti-cpe proposé par les étudiants à la victoire dans la soirée.

*MARDI 7 MARS : Appel de la coordination nationale à une grève reconductible dans tous les lycées et facs de france avec blocquage, occupation, réquisition des locaux et des moyens de l'établissement, manifestation et A.G interprofessionelle pour préparer une grève générale reconductible avec les salariés.

ANTI-CPE. --Les manifestations des lycéens se sont poursuivies hier dans la ville et à Max-Linder. Après quelques incidents, sa proviseure craint pour la sécurité

Verre brisé, lycée fermé:Yannick Delneste





En fin de matinée, deux cents lycéens ont pénétrés dans la mairie


La pression n'est pas baissée, loin de là, hier dans et autour du principal lycée de la ville où depuis lundi, le mouvement anti-CPE (Contrat Première Embauche) grandit progressivement. Baromètre : les élèves étaient une vingtaine à la première assemblée générale et on en dénombrait près de 200 à celle d'hier midi, un mercredi agité qui a provoqué la fermeture du lycée aujourd'hui et demain.
Après un mardi consacré à un blocage de l'entrée de Max-Linder, les manifestants avaient décidé hier d'agir à l'intérieur de leur lycée. Ils ont d'abord occupé les locaux de la vie scolaire, puis ont parcouru les classes pour sensibiliser les élèves qui étaient en cours. C'est à ce moment-là que des incidents (des bris de vitre notamment) ont amené la proviseure à décider la fermeture de l'établissement pour les deux jours à venir (lire par ailleurs).


Délégation reçue. Les quelque deux cents élèves sont ensuite sortis du lycée pour manifester leur opposition au CPE dans les rues du centre-ville. Ils ont descendu la rue Gambetta, direction la place Abel-Surchamp et la mairie qu'ils voulaient au départ investir. Les hommes et femmes de la police municipale et nationale parvenaient à les en dissuader, au profit de la réception d'une délégation.
Les représentants lycéens étaient reçus par Jacques Boutonnet, directeur général des services et Wilfried Grounon, collaborateur de cabinet auprès de Gilbert Mitterrand. De la mairie socialiste à la permanence UMP, il n'y avait que quelques centaines de mètres : le cortège se dirigeait ensuite vers la rue Pistouley et les bureaux politique de Jean-Paul Garraud, député de la dixième circonscription.


Présence. Point d'élu là non plus. Joint au téléphone, le député proposait un rendez-vous peu satisfaisant aux manifestants qui repartaient alors vers leur lycée. Les grilles de celui-ci étant fermées, certains lycéens escaladaient les murs, provoquant une remontée de tension, et incitant une nouvelle fois la proviseure à prendre la décision de fermer l'établissement à partir de 17 heures, et ce jusque lundi.
Lors de l'assemblée générale, les jeunes grévistes ont voté le maintien d'une présence demain devant Max-Linder. « Notre mouvement est motivé et crédible », précisait David, l'un des coordonnateurs. « Nous nous désolidarisons des actes commis ce matin. Et nous ne voulons pas laisser penser que ces deux jours de fermeture nous permettent de sécher. Nous combattons le CPE et nous continuerons demain. »
En fin de journée, le conseiller régional socialiste et directeur de cabinet du maire de Libourne, Philippe Buisson, faisait savoir son soutien au mouvement lycéen, mais mettait en garde contre tout débordement. « Dégrader cet outil de formation, c'est non seulement injustifiable sur le principe, mais c'est aussi se tromper d'objectif », déclarait-il notamment dans un communiqué. En fin de journée hier, des tracts étaient imprimés par les lycéens de Max-Linder en mouvement .

NANTERRE... CA CONTINUE ! (J+15)
MOBILISATION J+15 Communiqué de presse du 03/03/06
Hier , les étudiant-e-s de Paris X Nanterre, ont organisé un « grand banquet » dans le hall du Conseil Général du 92 dans un esprit de convivialité. Ils et elles sont ainsi, allé-e-s à la rencontre des personnels administratifs du bâtiment. Une délégation a été reçue par le directeur de la direction du travail.

Réuni-e-s lors de l' Assemblée Générale quotidienne, ils et elle ont voté la reconduction de la grève avec piquet de grève à la majorité absolue. L'Assemblée Générale a mandaté ses sept délégué-e-s pour réaffirmer l'autonomie des universités et porter la plate-forme de Toulouse à la coordination nationale qui se déroulera à Jussieu, le samedi 4 mars 2006 (14H).

A la suite de cette Assemblée Générale, les étudiant-e-s ont mené deux actions au MC Donald et au Virgin de la Défense (symboles de la précarité) pour dénoncer le démantèlement du Code du travail, et attirer l'attention de l'opinion publique sur les Contrats Nouvelle Embauche et Première Embauche.

Ce que nous défendons, nous le défendons pour toutes et tous !

Contact : stopcpe92@no-log.org - http://stopcpe92.blogspot.com/